vendredi 7 décembre 2012
Les Moissons du Futur
La veille de sa venue dans le cadre des Rencontres Ombres Blanches, organisée en collaboration avec l’association Petanielle et le collectif anti-OGM, autour de son livre
« Les moissons du futur : comment l’agroécologie peut nourrir le monde » (Éditions La découverte)
Marie Monique Robin réponds aux questions de Mach-Bio.
Rendez-vous donc Samedi 8 Décembre 2012 au 50 rue Gambetta à Toulouse Librairie Ombres Blanches entre 17h30 et 19h30
Dimanche 9 Décembre, une journée avec Marie Monique Robin qui vient présenter son dernier film à Utopia "Les Moissons du Futur" à 10h à Tournefeuille et à 20h15 à Toulouse, à l’initiative du collectif anti OGM31 et de l’association Pétanielle (à Tournefeuille la projection sera précédée d’un petit déjeuner avec le réseau des AMAP et la Librairie À juste titre). En agriculture comme dans la finance la privatisation des profits et la socialisation des dettes et coûts externalisés faussent les marchés. Grace aux subventions et en absence de politique pollueurs/payeurs, l’agriculture industrielle peut en toute impunité détruire les sols et générer des profits industriels. La production agricole mondiale ne progresse plus malgré des moyens industriels toujours plus puissants. Les agricultures écologiques sont la seule alternative possible au désastre de l’agriculture industrielle annoncé par Albert Howard dés les années 1930. La nouvelle histoire est en construction. Marie-Monique Robin nous la présente dans "Les Moissons du Futur" Près de chez nous : Je viens de signer une pétition pour soutenir le projet de ferme écologique "Au Petit Colibri" de Richard Wallner à Marsac en Charente. Nous sommes déjà 30 000 mais nous devons étendre la mobilisation pour convaincre la mairie de ne plus bloquer ce projet d'agriculture durable. Vous pouvez utiliser ce lien : http://www.change.org/AuPetitColibri Suites sans fin à Fukushima Un violent tremblement de terre de magnitude 7,3 ressenti jusqu'à Tokyo a secoué ce vendredi 7 Décembre 2012 le nord-est du Japon, faisant une dizaine de blessés et provoquant un tsunami d'un mètre de haut. De façon globale, aucun dégât important n'avait été signalé dans les zones touchées trois heures après la secousse.
Le séisme a eu lieu vendredi à 17 h 18, heure locale (9 h 18 à Paris), au large des côtes du Tohoku (région du nord-est), avec un hypocentre estimé à 10 kilomètres de profondeur, a précisé l'agence de météorologie. Il a été ressenti à plusieurs centaines de kilomètres à la ronde, en premier lieu dans les préfectures sinistrées par le tremblement de terre de magnitude 9 du 11 mars 2011. Le séisme et le tsunami géant consécutif avaient fait près de 20 000 morts.
L'alerte au tsunami a été lancée cinq minutes après le séisme pour toute la côte nord-est sur plus de 500 kilomètres, avant d'être levée deux heures plus tard. Une série de vagues, dont la plus haute mesurait un mètre, a touché trois préfectures du Tohoku (Miyagi, Iwate et Fukushima), a précisé l'agence.
Quelques minutes seulement après les premières secousses, les autorités ont affirmé qu'aucune des centrales nucléaires affectées par le séisme dévastateur de 2011 n'avait cette fois subi de dommages.
Rassurant : comme les mesures de la radioactivité qui n'ont jamais été aussi élevées dans le réacteur n°3, ou les éléments radioactifs à demi-vie courte décelés lors d’analyse dans la région de Fukushima, éléments radioactifs qui démontrent des fuites radioactives récentes… mais sur lesquels la Tepco ne fait guère de communiqués…
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